Podcast à hauteur d’enfant

1 Sep 2025 | Pédagogie

Lire la transcription

Premier épisode : L’entrée en crèche, une nouvelle étape !

Durée totale : environ 20 minutes

Intro : 1 minute

Cécile : Nous retrouvons aujourd’hui Marie Manjou, référente pédagogique nationale chez MNH Services à l’Enfance qui va tout vous dire sur cette grande étape qui est l’entrée en crèche de votre enfant.

Marie : Bonjour à tous, je suis ravie de vous retrouver aujourd’hui pour vous parler d’un moment à la fois émouvant, excitant… et parfois un peu stressant : l’arrivée de votre enfant à la crèche. Que vous soyez parent pour la première fois ou non, chaque séparation, chaque nouvelle familiarisation est unique.

Dans cet épisode, nous allons explorer ensemble ce que vit votre enfant lors de ses premiers jours, ce que vous pouvez ressentir en tant que parent, et surtout, comment vous préparer au mieux pour vivre cette transition en douceur. Nous parlerons familiarisation et vous retrouverez aussi des clés pour instaurer une relation de confiance avec l’équipe de la crèche.

Alors installez-vous confortablement… et laissez-vous guider.

Bonne écoute !

Echanges : 18 minutes/ 2 minutes par question

1. Cécile : Marie, peux-tu nous dire pourquoi l’entrée en crèche est-elle une étape importante dans le développement de l’enfant ?

Marie :

L’entrée en crèche marque bien plus qu’un simple changement de lieu de vie : c’est une étape fondatrice dans le développement de l’enfant. Elle lui permet de découvrir un nouvel environnement, avec de nouvelles couleurs, de nouvelles odeurs, un nouvel aménagement : tout est nouveau pour lui, ce qui viendra éveiller naturellement sa curiosité.

Cette étape va aussi lui permettre d’entrer en relation avec d’autres enfants et d’autres adultes, et de commencer à construire ses premières expériences de socialisation en dehors du cercle familial.

Votre bébé, à la naissance, ne connait que vous, parfois ses frères et sœurs, ses grands-parents, mais sa bulle de relations est très restreinte ! En entrant en crèche, il va agrandir cette bulle, s’attacher à un premier adulte de référence, le ou la professionnelle qui sera dédiée à sa familiarisation. Il va ensuite peu à peu s’ouvrir au reste de l’équipe, lorsqu’elle prendra le relais de ce ou cette professionnel(le).

L’idée, c’est d’aller au rythme de votre enfant, ne pas le brusquer et réajuster la période de familiarisation si besoin : allonger ce temps ou le raccourcir selon les réactions de votre enfant.

Pour les plus grands, c’est aussi un moment où l’enfant développe progressivement son autonomie, apprend à vivre la séparation, à trouver sa place au sein d’un groupe. Il y construira de nouveaux repères, de nouvelles habitudes pour s’y sentir bien.

Ces expériences, vécues en douceur et avec l’accompagnement bienveillant des professionnels de la petite enfance, participent à la construction de sa sécurité affective et de sa confiance en lui.

L’entrée en crèche est une expérience riche et structurante, à la fois pour l’enfant et pour sa famille.

Cécile : Merci Marie pour ces éclairages, c’est très parlant !

2. Cécile : Parlons maintenant de « l’avant crèche » : Comment les parents peuvent-ils préparer leur enfant en amont de l’entrée en crèche ?

Marie :

Alors, la préparation commence bien avant le premier jour. Vous allez venir apporter des repères à votre enfant, des repères rassurants pour l’aider à anticiper ce changement. Vous pouvez par exemple lui parler de la crèche avec des mots simples, lui montrer le lieu si possible, passer devant régulièrement ou encore lire des livres sur le thème de la séparation et de la vie en collectivité.

Parlez-lui de la crèche, mais pas trop tôt, une ou deux semaines avant, cela sera suffisant, car les tout-petits n’ont pas encore cette notion de temporalité.

Lors du rendez-vous d’inscription proposé par le responsable de l’établissement, il est préférable de vous y rendre avec votre enfant, cela lui permettra d’entrer une première fois dans ce nouvel environnement, de le découvrir à vos côtés et de s’émerveiller avec vous.

Si la visite de la crèche a lieu à ce moment là cela aura encore plus de sens qu’il soit présent.

Vous pouvez tester des petites séparations en amont de son arrivée à la crèche, 1h avec mamie, une après-midi avec tonton, pour qu’il perçoive que vous revenez toujours.

N’hésitez pas à dormir avec le doudou que vous aurez sélectionné pour la crèche, s’il en a un, afin qu’il s’imprègne de votre odeur, ce qui pourra le rassurer au quotidien.

Pour vous parents, il est essentiel de prendre le temps de vivre cette étape, de poser toutes vos questions dès le rendez-vous d’inscription, de partager vos inquiétudes. Nous allons l’aborder, mais la familiarisation est progressive, vous pourrez prendre le temps d’évoquer tous les sujets qui vous questionnent. Cette période est justement pensée pour cela : permettre à chacun, enfant comme parent, de trouver ses marques en douceur.

La confiance mutuelle entre les familles et les professionnels est la clé d’une entrée réussie. N’hésitez pas à échanger, à observer, à vous appuyer sur l’expérience de l’équipe : vous êtes tous partenaires dans cette aventure.

Cécile : Super, ces petites astuces ! J’aurai aimé les avoir à l’époque de l’entrée en crèche de mes enfants !

3. Cécile : Marie, est-ce que tu peux nous raconter comment se déroule la période de familiarisation chez MNH Services à l’Enfance ? Et pourquoi est-elle essentielle ?

Marie :

A mon arrivée chez MNH Services à l’Enfance, j’ai souhaité retravailler avec nos équipes de responsables et les éducateurs de jeunes enfants de chaque établissement, cette période de familiarisation afin d’harmoniser les pratiques pour cette rentrée de septembre 2026.

Les recherches menées en neuroscience sur le développement du cerveau de l’enfant nous ont montré que le tout-petit avait besoin de répétition des moments vécus et non de progression comme ce qui était pratiqué jusque maintenant.

Il est important pour que votre enfant puisse se sentir en confiance peu à peu, qu’il retrouve des sensations vécues la veille, des jeux avec lesquels il a joué, un espace connu et identifié.

Nous avons donc réfléchi, en équipe, au meilleur format possible pour cette familiarisation et l’option choisie a été celle de la répétition du même créneau horaire chaque jour. En fonction du contexte de chaque crèche, de l’amplitude horaire, car nos crèches hospitalières sont parfois ouvertes de 6h à 22h, et de l’organisation générale, ce créneau est choisi en équipe. Sur la semaine de familiarisation, le créneau choisi est donc le même du lundi au jeudi, exemple de 9h à 11h puis le vendredi nous proposons un accueil plus long, à peu près 4h, ce qui pourra donner à votre enfant un aperçu d’une journée en crèche.

Votre tout-petit pourra alors se sécuriser peu à peu dans ce même espace-temps.

Le repère humain va aussi être une des clés de la réussite de cette familiarisation.

Au sein de nos crèches, nous avons donc choisi la référence pour cette période, seule ou en binôme afin que, votre enfant et vous-même, puissiez créer ce lien essentiel pour la suite de l’accueil à la crèche.

Et vous parent ? Devez vous rester ou vous séparer ?

Nous nous appuyons, pour chaque thématique de notre projet d’établissement, sur le référentiel national de la qualité d’accueil du jeune enfant, paru en mars 2025, et au sujet de la familiarisation il est préconisé de garder la présence constante du ou des parents toute au long de la semaine.

Le secret réside dans l’observation que vous ferez de votre enfant. Bien sûr nous vous demanderons de rester la première journée sur tout le créneau horaire car il s’agira de faire connaissance.

Maintenant, si vous vous sentez en confiance les jours suivants, et que votre enfant explore et se sent bien, vous pourrez tenter des séparations courtes.

Le principal c’est d’aller au rythme de chacun et de laisser la possibilité, au parent qui le souhaite, de rester toute la semaine avec son enfant à la crèche.

Cécile : Prendre le temps de prendre son temps, c’est ce que nous allons retenir !

4. Cécile : Mais alors comment repérer si la séparation est bien vécue par l’enfant et quelles attitudes ou réactions sont normales pendant la période de familiarisation ?

Marie :

C’est une question que beaucoup de parents se posent, et c’est tout à fait normal. Lors de l’entrée en crèche, chaque enfant réagit à sa manière, en fonction de son âge, de son tempérament, et de son vécu.

Certains enfants vont rapidement explorer leur nouvel environnement, interagir avec les professionnels ou les autres enfants. D’autres auront besoin de plus de temps, resteront proches de l’adulte référent, ou exprimeront leur insécurité par des pleurs ou un besoin de réassurance. Ces réactions sont tout à fait normales pendant la période de familiarisation.

Prenons l’exemple du repas : il arrive fréquemment qu’un enfant refuse de manger à la crèche sur les premiers jours de l’accueil. C’est sa façon à lui d’exprimer ce changement, de nous dire que son environnement a changé et qu’il va lui falloir du temps pour l’intégrer. Pas de panique, votre enfant pourra se rattraper à la maison, ne surtout pas se focaliser sur ces petits signaux car cela pourra les accentuer. Laissons-lui le temps, il prend ses marques peu à peu.

Ce qui compte, c’est d’observer l’évolution : un enfant qui, au fil des jours, commence à s’apaiser plus vite, à jouer, à manger ou à dormir à la crèche, montre qu’il est en train de se familiariser. Il peut aussi y avoir des régressions temporaires à la maison (sommeil, alimentation, …), qui sont des signes d’ajustement émotionnel. Son rythme va très certainement changer, la vie à la crèche est différente de la vie à la maison, il va vivre au sein d’un groupe dans une ambiance différente.

La clé, c’est la continuité et la confiance : en maintenant un lien régulier avec l’équipe, en parlant à votre enfant de ce qu’il vit, et en respectant son rythme, vous l’aidez à construire une expérience positive de la séparation.

Cécile : Toujours mettre des mots sur ce qu’il vit, c’est important !

5. Cécile : Et dis-moi, quels rituels ou habitudes peuvent aider à sécuriser l’enfant au moment de la séparation ?

Marie :

Les rituels jouent un rôle essentiel pour aider l’enfant à vivre la séparation avec plus de sérénité. Ils lui offrent des repères stables et prévisibles dans un moment qui peut être émotionnellement chargé.

Par exemple, instaurer un petit rituel du matin — comme chanter une chanson ensemble sur le chemin, choisir un doudou ou un objet à emporter, ou encore dire une phrase rassurante toujours identique — peut vraiment faire la différence. Ce sont de petits gestes simples mais puissants, qui permettent à l’enfant de comprendre que la séparation est temporaire et que le parent reviendra.

Il est aussi important que le moment de la séparation soit clair et cohérent : un au revoir court mais chaleureux, sans s’éterniser, aide l’enfant à passer à autre chose. L’équipe de la crèche est là pour prendre le relais et accueillir l’enfant avec bienveillance.

Votre enfant a toujours besoin d’entendre des mots sur cette séparation, s’il pleure pour le rassurer, s’il est déjà parti jouer, pour le prévenir. Partir sans rien dire ne viendra qu’accentuer son angoisse au moment où il s’en rendra compte.

Enfin, certains enfants ont besoin de regarder par la fenêtre, de faire un “check” avec leur parent ou de recevoir un bisou magique : l’essentiel est de trouver ce qui fonctionne pour votre enfant, et de le répéter chaque jour pour créer un cadre rassurant.

Cécile : Encore une fois, la répétition est primordiale !

6. Cécile : Et les parents dans tout ça ? Dis-moi Marie quelles astuces donnerais-tu aux parents qui nous écoutent pour gérer leurs propres émotions lors de la séparation ?

Marie :

Pour les parents, c’est également une étape importante : celle de confier son enfant, de tisser un lien de confiance avec l’équipe, et de trouver sa place dans cette nouvelle dynamique éducative partagée.

Ils nous confient la prunelle de leurs yeux, la chair de leur chair, on ne peut pas passer à côté de leurs émotions.

C’est une question essentielle, car l’entrée en crèche est souvent aussi bouleversante pour les parents que pour les enfants. Et c’est tout à fait normal.

La première astuce, c’est de s’autoriser à ressentir : tristesse, culpabilité, inquiétude… toutes ces émotions sont légitimes. Les reconnaître, c’est déjà un premier pas pour mieux les apprivoiser.

Ensuite, il est important de se préparer en amont : visiter la crèche, rencontrer l’équipe, poser toutes ses questions. Plus vous vous sentirez en confiance avec les professionnels, plus il vous sera facile de transmettre cette sérénité à votre enfant.

Un autre conseil : évitez de cacher vos émotions à votre enfant, mais exprimez-les avec des mots simples et rassurants. Par exemple : “Tu vas à la crèche, et moi je vais travailler. On se retrouve tout à l’heure.” Cela l’aide à comprendre que la séparation est temporaire et qu’il peut vous faire confiance.

Si la séparation est compliquée pour vous, autorisez-vous là lui dire : « tu sais maman n’a pas envie de reprendre le travail mais je n’ai pas le choix, j’ai choisi cette crèche parce que je me sens en confiance et tu y seras bien accueilli, nous allons trouver notre rythme et ça ira. »

Enfin, n’hésitez pas à vous entourer : parler avec d’autres parents, échanger avec l’équipe, ou même prendre un petit moment pour vous après la séparation. Prendre soin de soi, c’est aussi prendre soin de son enfant.

Rappelez-vous : plus vous êtes apaisé(e), plus votre enfant le ressentira. Et chaque jour est une nouvelle occasion de renforcer ce lien de confiance.

Cécile : en fait, à la crèche nous accueillons les émotions des enfants mais aussi celles de leurs parents !

7. Cécile : Et comment instaurer une relation de confiance entre les parents et l’équipe de la crèche ?

Marie :

La confiance, c’est vraiment la base d’un accueil serein pour l’enfant… et pour ses parents. Elle ne se décrète pas, elle se construit, petit à petit, à travers des échanges simples, réguliers et sincères.

Dès les premiers contacts, il est important que les parents se sentent écoutés, accueillis, et qu’ils puissent poser toutes leurs questions, même les plus anodines. De leur côté, les professionnels de la crèche prennent le temps de connaître chaque famille, ses habitudes, ses valeurs, ses inquiétudes aussi.

La période de familiarisation, qui offre aux parents la possibilité de rester autant de temps qu’il le souhaite, va permettre à ce lien de confiance de se tisser. En tant que parent vous pourrez vivre le quotidien de l’équipe à la crèche, et observer que chaque enfant est écouté, considéré, comme un individu à part entière.

La transparence est essentielle : expliquer comment se passe la journée, partager les petits moments vécus par l’enfant, évoquer les progrès comme les difficultés. Cela peut passer par un mot le matin, un retour le soir, un cahier de vie ou même un simple sourire.

Et puis, il ne faut pas hésiter à exprimer ses émotions ou ses doutes : une relation de confiance, c’est aussi pouvoir dire quand quelque chose nous questionne, sans crainte d’être jugé.

Il est précieux de valoriser les échanges positifs : un merci, un retour bienveillant, une reconnaissance du travail de l’équipe… Cela nourrit la relation et crée un climat de respect mutuel.

Nous proposons régulièrement des cafés-parents ou des ateliers parents-enfants pour que les parents puissent vivre d’autres moments conviviaux que les temps d’échanges quotidiens. Ils pourront alors partager entre parents, se donner des astuces, se rassurer et rencontrer d’autres professionnels de la crèche.

La place donnée aux parents au sein de la crèche va jouer un rôle crucial dans ce lien de confiance : un parent qui se sent bien c’est un enfant qui se sent bien !

En résumé, la confiance se tisse dans les petits gestes du quotidien, dans la régularité des échanges, et dans la conviction partagée que l’on agit ensemble pour le bien-être de l’enfant.

Cécile : Parfait, alors partage, convivialité, transparence et communication = confiance ! Je note la recette !

8. Cécile : Marie, en tant que parents, nous sommes parfois démunis lorsque notre enfant pleure beaucoup le matin ou refuse d’aller à la crèche pour les plus grands, que faire dans ces situations ?

Marie :

C’est une situation que beaucoup de familles vivent, et il est important de rappeler que ces réactions sont fréquentes et normales. Pleurer, refuser de se séparer, ou dire “je ne veux pas y aller” sont des façons pour l’enfant d’exprimer ses émotions, son besoin de réassurance, ou simplement son envie de rester dans un environnement familier.

La première chose à faire, c’est de rester à l’écoute sans dramatiser. Accueillir les émotions de l’enfant, les nommer — “Tu es triste ce matin ? Tu aurais aimé rester avec moi ?” — permet de les reconnaître et de les apaiser.

Ensuite, il est essentiel de maintenir un cadre stable et rassurant : un rituel du matin, un au revoir clair et constant, et surtout, éviter de prolonger la séparation. Même si c’est difficile, un départ rapide et confiant aide souvent l’enfant à se calmer plus vite une fois le parent parti.

Il peut aussi être utile de parler avec l’équipe de la crèche : les professionnels peuvent vous dire comment se passe la journée une fois la séparation faite. Souvent, les pleurs cessent rapidement, et l’enfant retrouve le sourire en jouant.

Si ces refus persistent ou s’intensifient, il ne faut pas hésiter à en parler avec l’équipe pour réajuster l’accompagnement. Parfois, un petit changement dans l’accueil, un temps d’échange ou un objet transitionnel peut faire toute la différence.

Et autorisez-vous, en cas de séparation difficile, à appeler la crèche plus tard dans la matinée pour savoir si cela s’est atténué, vous vivrez plus sereinement votre journée au travail !

Rappelez-vous : vous n’êtes pas seul(e), et ces moments, bien que difficiles, sont souvent passagers. Avec de la patience, de l’écoute et un accompagnement bienveillant, la séparation devient plus douce… pour tout le monde.

Cécile : Si j’ai bien compris, ça arrive à tout le monde et ça passe avec le temps !

9. Cécile : Un dernier mot pour rassurer les parents qui vivent cette étape pour la première fois ?

Marie :

Oui… Ce que j’aimerais dire aux parents, c’est : faites-vous confiance. L’entrée en crèche est une étape importante, parfois bouleversante, mais elle est aussi pleine de belles découvertes, de rencontres et de progrès — pour votre enfant, mais aussi pour vous.

Il est normal d’avoir des doutes, de se poser mille questions, de ressentir un pincement au cœur au moment de la séparation. Mais rappelez-vous : vous offrez à votre enfant une formidable opportunité de grandir, de s’ouvrir au monde, tout en étant entouré de professionnels bienveillants et attentifs.

Et surtout, vous n’êtes pas seul(e). L’équipe de la crèche est là pour vous accompagner, vous écouter, vous soutenir. Ensemble, vous formez une équipe autour de ce qui compte le plus : le bien-être de votre enfant.

Alors respirez, souriez… et avancez, un petit pas à la fois !

Conclusion : 1 minute

Cécile

Merci d’avoir écouté ce tout premier épisode d’« A hauteur d’enfant ».

L’entrée en crèche est une étape importante, parfois chargée en émotions, mais aussi pleine de découvertes et de belles rencontres. Nous espérons que les conseils partagés aujourd’hui par notre référente pédagogique vous auront permis d’y voir plus clair, de vous sentir rassuré(e) et surtout, de vous rappeler que vous n’êtes pas seul(e) dans cette aventure.

Chaque enfant avance à son rythme, chaque parent fait de son mieux — et c’est déjà beaucoup. Faites-vous confiance, faites confiance à votre enfant, et n’hésitez pas à échanger avec l’équipe de la crèche : c’est ensemble que cette transition se construit.

On se retrouve très bientôt pour un nouvel épisode. D’ici là, prenez soin de vous… et de vos tout-petits.

Enfants en crèche

Vous recherchez un travail dans la petite enfance ?

Note moyenne sur Google de nos crèches hospitalières : 4,5/5

4,5/5, note moyenne donnée par nos clients pour nos crèches hospitalières sur notre dernière enquête de satisfaction.

Logo de la FFEC - Fédération Française des Entreprises de Crèches

La Fédération Française des Entreprises de Crèches (FFEC) est une organisation professionnelle qui regroupe des acteurs du secteur de la petite enfance en France. Fondée pour promouvoir la qualité des services d'accueil des jeunes enfants. Elle œuvre également pour la sensibilisation des pouvoirs publics sur les enjeux de la petite enfance, tout en proposant des outils et des ressources pour améliorer la gestion et le fonctionnement des crèches. Par son engagement, la FFEC contribue à garantir un environnement de qualité pour les enfants et un cadre professionnel pour les éducateurs. MNH SAE fait parti de cette Fédération depuis 2022.